les jardins et terrains autour d’Osterley House ont survécus jusqu’à aujourd’hui sans grand changement depuis le temps de leur splendeur qu’il atteignirent à la fin du XVIII è siècle.
à la fin du XVIII ème, les jardins s’agrémentaient de parterres de fleurs colorés, les élégantes maisons de jardin étaient remplies de plantes exotiques et des bateaux naviguaient sur le lac (garden lake), le National Trust s’attache à restaurer les jardins tels qu’ils étaient à cette époque.
Osterley House est une maison de campagne géorgienne dans l’ouest de Londres, un court trajet du centre de Londres en métro, et nous voilà transporté à la campagne (seul point dérangeant le bruit des avions que l’on finit pas oublier au dessus de nos têtes et celui de l’autoroute M4 toute proche des jardins, mieux vaut surement les visiter en semaine en début d’après midi quand le trafic n’est pas encore trop important…).
Promenez-vous jusqu’à la route bordée d’arbres, au-delà des bovins charolais broutant dans les pâturage et vous pensez que vous êtes loin du centre névralgique de la capitale britannique. Avec ses 145hectares de jardins, parc et les terres agricoles, Osterley est l’un des derniers survivants des maisons de campagne de cette ampleur à Londres.
j’ai choisi de commencer la visite non par la maison mais par les jardins pour nous reposer de la chaleur de ce mois de juillet, car lorsque nous avons visité Osterley en ce premier weekend d’été ni le soleil, ni la chaleur n’étaient vraiment au rendez vous et pourtant il était fort agréable de s’y promener dans les jardins colorés…
Devant la maison sur l’arrière des prés à perte de vue,
le grand pré devant la maison est de temps en temps occupé par les vaches charolaises appartenant au fermier qui loue les terres, une scène très « pastorale » que j’ai scanné du livre acheté sur place:
sur la droite de la maison les jardins à l’anglaise: verdure et fleurs et les murs des étables
mais aussi un arbre gigantesque très impressionnant avec ses branches qui touchent terre:
il s’agit dit la pancarte d’un Platane oriental planté en 1755, il est l’un des plus vieux arbres planté à Osterley , il viendrait de Turquie ou d’Iran…
le long du mur qui ferme le jardin le long des dépendances des fleurs bien sûr et un des nombreux bancs placé dans les jardins:
certaines comme ces pavot à la couleur subtile semble avoir été bricolées en papier froissé:
les digitales se dressent dans les massifs:
on s’assoit pour admirer?
avant de poursuivre la visite en découvrant le jardin fleuri de Madame Child?
ce billet est également ma participation au Flower power du lundi de Bernie
Superbes ! Bon lundi 🙂
bonjour, c’est un endroit magnifique, là bas; et dépayasnat, si proche de la ville; les quais à Paris 13 sont naimés, peut être un peu trop avec le batofar !! ce quartier est en pleine mutation, il a bien changé depuis que je suis à Paris, et ce n’est pas fini; bonne journée, bisous
Une superbe campagne anglaise Catherine. C’est magnifique, de très belles photos. Bises et bonne journée. ZAZA
belles photos de fleurs Catherine
en ce moment chévre feuille sur les talus
et du crachin aussi
bonne fin de journée
bises
C’est vraiment très beau et très vert… ce qui n’est plus le cas chez nous. Les anglais sont champions pour les jardins, rien à dire ! Bisous et belle semaine
J’ai bien aimé le passage avec ces arbres gigantesques aux ramifications impressionnantes 🙂
De jolies fleurs et sans oublier les reines des près qui animent la photo
Bisous
@ demain
Un endroit très agréable, on a du mal à penser qu’il se trouve si près de la ville ! Tes photos sont très jolies, ça donne envie !
Belle fin d’après-midi, bisous !
Cathy
Une très jolie promenade en contraste totale avec celle de Lavandine. Je retiens ce très vieil arbre dont les branches ont fait racine. Gros bisous