on continue notre visite d’Osterley House par les appartements d’appartements d’états à l’étage principal de la maison celle des pièces de réception, après le salon dont je vous ai parlé hier on trouve,
La salle des tapisseries:
c’est la première des 3 pièces qui constitue les appartements d’état, une suite crée pour impressionner et recevoir les invités très importants comme les royaux, à la fin du 18ème siècle ces suites sont tombées en désuétude.
l’une des plus belles pièce de la maison protégée de la lumière extérieure par des volets clos, la douce lumière des candélabres comme des bougies dans l’ancien temps ou l’électricité n’existait pas éclaire les tapisseries qui décorent les murs:
la magnifique série de tapisseries a été tissées à la main sur des métiers à tisser verticaux, il aura fallu 4 années pour les terminer, elles ont été commandé à la manufacture des gobelins à Paris en 1772 et livrées à Osterley en juin 1776,
la Chambre à coucher d’état:
le lit d’état continue à dominer la pièce pour laquelle il a été conçu à Osterley, magnifique et opulent ce dôme, laqué et décoré de 8 images est un étrange mélange de temple classique et de décor de scène théâtrale:
la chambre est elle aussi protégée par les volets clos, les décorations du lit d’état font subtilement références à la fertilité et au romantisme:
le troisième élément des appartements d’état dessinés par Robert Adam à Osterley est l’antichambre Etrusque,
The Etruscan Dressing Room:
cette pièce devait servir d’antichambre à la chambre à coucher d’état ou de salon. Et bien que les appartements d’état soit passés de mode à la fin du 18éme siècle, le dessin de Adam pour cet pièce était avant-gardiste selon les standards de l’époque .
Il a puisé son inspiration d’une variété de sources antiques afin de créer un salon harmonieux .
Adam a pratiquement tout dessiné dans cette pièce et ses schéma pour la décoration des murs se sont inspirés de découvertes archéologiques de l’époque à Etruria dans le centre de l’Italie:
les vestibules ou couloirs:
sont l’occasion d’exposer des tableaux de la splendeur d’Osterley:
un petit clin d’œil à mon blog:
le grand escalier:
la visite de l’étage principal se termine par la vue du grand escalier qui mène à l’étage supérieur, il s’élève du rez de chaussée de ce qui était l’entrée familiale jusqu’au second étage:
vue sur la cour et les toits d’Osterley House du premier étage:
la chambre à coucher au taffetas jaune:
est la première pièce que nous visitons à l’étage
cette chambre était la principale chambre pour les invités en 1759, elle semble peu meublée mais c’était la coutume au 18ème siècle, dans toutes les familles un peu aisée, chaque chambre avait son propre dressing ou l’on se lavait, s’habillait et ou les vetements étaient rangés.
le lit a baldaquin a été dessiné en 1779 par Robert Adam son dernier dessin de meuble pour Osterley
les décorations en relief dorés des cadres débordent sur le mur:
la coiffeuse est recouverte d’une jupe en mousseline des indes réplique exacte de l’originale:
le couloir qui dessert les autres pièces est joliment décoré:
et il me semble que certains tableaux plein de romantisme et de belles dames plairaient à mon amie Sophie:
les appartements des Child commencent à gauche du grand escalier par la chambre et le dressing du maître de maison des pièces qui communiquent.
la Chambre à coucher et le dressing de Mr Child:
en fait cette pièce était partagé par Mr et Mme child quand ils étaient à Osterley de mai à novembre en général,
les meubles qui figuraient à l’époque dans cette pièce ne sont plus à Osterley, il est dit qu’il avait des rideaux de soie bleu et un tapis bleu bruxellois, une armoire en acajou et une table à raser ainsi qu’une commode, la pièce est désormais dédiée aux souvenir de la famille Child
la chambre à coucher de Mme ChilD:
elle s’habillait et conservait ses vêtements dans cette pièce qui lui servait de boudoir , une chambre informelle et confortable ou elle pouvait se reposer, elle y recevait des invitées féminines pendant que les hommes étaient en train de chasser à l’extérieur,
le temps passait à discuter, jouer aux cartes, broder et à boire du thé ou du café, des fenêtres du corridor elle pouvait admirer les étables et sa fierté et sa joie: le jardin
la dernière partie de la visite se situe au Ground floor: le rez de chaussée légèrement enterré puisqu’il a fallu monter des marches de l’extérieur pour atteindre l’étage principal, c’est la partie qui au 18éme siècle était l’étage voué aux domestiques: cuisines, celliers, hall des serviteurs,
je vous la fais découvrir lundi pour terminer notre visite, cela vous tente?
Je suis moins fan de l’intérieur, j’avoue que je préfère la nature et les balades 🙂 gros bisous Catherine 🙂 Passe une belle journée
superbe interieur
j adore visiter les intérieyrs de chateaux
bonne fin d e semaine
( bon courage pour tes affaires )
bises CATHERINE
C’est vraiment magnifique Catherine. Et moi qui rêve de dormir au moins une fois dans un lit à baldaquin ! Bises et bonne soirée. ZAZA
Un peu trop chargé pour moi, mais tu t’en serais doutée !
Excellent week-end, bisous !
Cathy
Quelle belle visite tu nous offres ce matin
J’adore ce lit luxueux, moi qui n’ai pas fermé l’oeil de la nuit , je te souhaite une belle fin de semaine
Bisous
Tu vois notre président dormir dans la chambre d’état, dans le lit à baldaquin?
Leur as tu signalé qu’ils ont fait une faute d’orthographe au nom de ton blog?
Bisous
De beaux appartements où plus d’une aimerait au moins, y chiper quelques objets. Gros bisous